‹ nom(s) : Belikov, rien de plus humain, rien de plus banal pour une russe, certes chez les américains, ça fait toujours bizarre.
‹ prénom(s): Ranya, Tatyana. Deux prénoms assez simple pour quelqu’un d’origine russe, mais elle préfère qu’on l’appelle Ranie, ou encore Tatia, deux appellations qu’elle préfère franchement.
‹ âge, date et lieu de naissance : 25 ans, elle est née le 28 septembre à Moscou. A l’époque, sa famille vivait encore en Russie, puis pour des raisons politiques – leur père était un ex agent du KGB – ils ont fini par déménager de force aux USA après avoir demandé une sorte d’asile politique. La jeune femme est née dans une famille humaine, une pauvre petite humaine. Rien de surnaturel dans sa famille, absolument rien du tout. Les Belikov sont vraiment normaux, très normaux, à part que sa famille à souffert sous le régime communiste, car ils étaient proche du tsar autrefois, et en tant que riche ils ont souffert, pour finalement ne plus être grand-chose.
‹ métier : Concernant son occupation, la jeune femme tient une galerie d’art en centre ville, elle-même artiste à ses heures perdu, elle s’occupe plutôt d’exposer des œuvres d’autres artistes, mais aussi leur trouve des acheteurs à travers le pays, il lui arrive également de travailler avec des musées.
‹ avatars choisi : Et la magnifique femme qui sert d’avatar à Ranya est Nina Dobrev, le très jolie Nina.

Une brune, une belle brune. Elle vous toise de loin, elle vous regarde, et vous la regardez. Du haut de son mètre soixante dix, sa silhouette se fait plus élancé de part ses talons d’une dizaine de centimètre. Ne sous estimez jamais l’apparence. En apparence, Ranie est une jeune femme plutôt fatale, et qui surtout n’a pas vraiment l’air de savoir se défendre. C’est là que vous commettez votre première erreur. Elevée par un père ex membre du KGB, celui-ci a appris à ses filles comment se défendre, et surtout comment se débarrasser des ennemis. Ranya est forte physiquement, et je ne m’amuserais pas à lui chercher des noises, car derrière cette silhouette frêle se cache une jeune femme douée pour les arts martiaux, et surtout pour le tir à l’arme à feu, d’ailleurs elle en possède une. Physiquement, elle possède de longs cheveux bruns, qu’elle laisse parfois bouclé, mais elle a tendance à se lisser les cheveux le plus possible. Elle adore les jeans slim, et les t-shirt plutôt moulant, et vous certifie que vous ne la verrez jamais en survêtement trop large, jamais. A part ça que dire sur elle… elle adore regarder la tv le soir avec un plateau repas, soit avec sa sœur, soit avec des amis. Ensuite, elle n’aime pas les chiens, parce qu’elle y est simplement allergique, puis elle adore les chats et hésite depuis longtemps à en prendre un. Ce sont des détails, mais elle aime les détails d’ailleurs, elle les adore, elle aime bien connaitre des choses sur les gens, c’est sans doute son côté un peu commère.

Au niveau du caractère, Ranya est une jeune femme pleine de fougue, oui, pleine de fouge. D’apparence, elle est douce, même très douce, surtout avec les enfants. La jeune femme possède une véritable feeling avec les enfants, mais pourtant, elle ne souhaite pas vraiment en avoir, pas pour le moment, et puis, si un jour cela devait être le cas, elle préférerait adopter plutôt que de le mettre au monde, car elle a peur de souffrir, physiquement. La peur est une chose qui l’habite, la peur de mourir, la peur de perdre Lenka, sa sœur, le dernier membre de sa famille, elle a peur de souffrir physiquement, de tomber malade, de souffrir moralement. Sa vie est régit pas une certaines peur, mais elle a su transformer sa peur en moteur. Courageuse, elle ne craint pas les vampires – enfin pas vraiment – et se sent parfaitement capable de leur faire face, d’ailleurs, elle ne les porte pas dans son cœur, pas du tout. Forte de caractère, elle ne supporte pas franchement avoir tord, et donc elle essayera par tous les moyens de preuve possible de vous montrer qu’elle a raison. Autre chose, elle est de nature assez sarcastique, et ironique, elle possède de l’humour, mais souvent un humour assez sombre.

Elle était haute comme trois pommes, et ses souvenirs sont encore flous au sujet de cette époque, lointaine. Cinq ans, et à côté d’elle une petite avec la même bouille d’ange, à peine plus jeune. Il s’agissait de Ranya et de Lenka, les sœurs Belikov, encore à l’âge du berceau. Des cheveux bruns, et des yeux bruns, toutes les deux, si Ranya n’avait pas été plus grande, on aurait pu jurer qu’il s’agissait de jumelle. Elles jouaient à la poupée dans le salon de la famille, un modeste appartement de Moscou, et sur le mur on pouvait voir les photos anciennes d’une sorte de château, un domaine perdu à l’ascension du communiste qui laissait un souvenir amère à la famille. « Lennie, arrête de la machouiller ! » dit alors Ranya en riant et en tirant la poupée à elle. Sa sœur avait tendance à tout mâchouiller à cette époque. Dans la cuisine, la mère des filles étaient entrain de laver la salade, regardant avec amour ses deux enfants jouer. C’était le paradis, enfin, pour l’instant. La porte s’ouvrit en fracas, et un homme entra. Il s’agissait du père de famille, Viktor. « Tasha, prend le minimum, il faut qu’on parte. » Le ton était grave. Très grave. Il s’approcha de l’entré et sorti les passeports de toutes la famille. Tasha – la mère – s’approcha de l’armoire et sorti une valise déjà bien rempli, elle n’était pas surprise, pas vraiment du moins. Elle avait préparé cela depuis des jours, c’était à prévoir. Viktor était un ancien membre du KGB qui avait vendu des informations confidentielles aux américains, même après la guerre froide, on ne pardonne pas. Il fallait qu’ils s’en aille, question de vie ou de mort. Lenka était assise par terre, perdue. Ranye se leva et attrapa la manche de sa mère pour demander : « On part en vacances maman ? » Sa mère se stoppa, et s’agenouilla aux côtés de sa fille, et dit alors en lui enfilant un bonnet : « Non ma chérie, mais ne t’inquiète pas. Habille ta sœur chaudement, s’il te plait, et habille-toi, vite ma chérie. » Elle hochait la tête, et se tourna vers sa sœur, attrapant la veste, l’écharpe, les gants, le bonnet et les chaussures de celle-ci. Même enfant, Ranya était déjà une enfant très débrouillarde qui veillait indéfiniment sur sa petite sœur. Celle-ci la regardait absente, inquiète. Après l’avoir habillé, Ranya fit de même pour elle, et une fois qu’elle eut finit, elle attrapa la main de sa sœur, et ne la lâcha pas, non, plus jamais. Dans sa main, elle avait une peluche, et sa sœur une poupée. C’était la seule chose qu’elles avaient pu garder. Dans la hâte ils avaient quitté l’appartement, direction l’aréoport.

La suite ? ils réussi à prendre l’avion pour les Etats Unis, et ils ont eut un visa pour asile politique, ou quelques chose du genre. La famille s’est installé à Norfolk, dans l’état de Virginie, rentrant dans la catégorie « famille moyenne et immigré ». Leur père trouva rapidement un travail en tant qu’employé de bureau dans une compagnie qui vendait et exportait du papier, tandis que sa mère faisait quelques ménages. Réticente face à l’Amérique, Ranya a d’abord été réfractaire, refusant de parler l’anglais, répondant en russe à ses professeurs, puis elle a fini par s’intégrer, et si bien qu’aujourd’hui, elle ne possède plus l’ombre d’un accent, plus rien. Ranya a appris à se battre avec son père, en tant qu’ex agent du KGB, il connaissait de nombreuse technique pour immobiliser des personnes hostiles, il avait fait le choix de l’enseigner à ses filles suite à un viol qui avait eut lieu dans leur rue. A l’époque, ses préoccupations étaient bien loin des vampires et des sorciers, et pourtant les violeurs faisaient des choses toutes aussi odieuse. Bien plus douée que Lenka pour se battre, Ranya a finit renvoyé de son lycée après avoir cassé le bras d’un camarade qui s’était montré vraiment très instant avec elle dans les vestiaires après le sport, et le garçon avait tout nié, prétextant qu’elle était folle, juste folle à lier. Ranya a toujours été une jeune femme à problème, à treize ans, elle s’était faite renvoyé plusieurs fois, pour vol dans le bureau du directeur, violence, etc. perturbée ? Non, un peu perdu, tout simplement, et pleine crise d’adolescence. Cependant pendant ces années, elle n’a jamais cessé de veiller sur sa sœur, jamais. La vie n’était pas facile, et un jour, tout à basculé.

Pour l’anniversaire de mariage de leur parents, ceux-ci avaient emener les filles dîner en centre ville, et ils leur avaient dit d’aller à la voiture. Lenka, suivit de près par Ranie se dirigeait vers la voiture quand des cris derrières elles le firent réagir. Très rapidement, elles virent deux hommes, enfin… peut être était-ce deux femmes s’approcher de leur parent, et les attaquer, violemment, mordant visiblement leur cou. Elles entendirent leurs géniteurs hurler. Par reflexe, Ranya pris sa sœur dans ses bras et la fit s’accroupir derrière la voiture, la serrant contre elle, comme lorsqu’elles étaient enfants. Elles venait d’assister aux meurtres de leurs parents, et elles sont resté à pleurer à chaude larme, jusqu’à ce que la police débarque, classant rapidement l’affaire comme « règlement de compte de la mafia russe », mais Ranya savait ce qu’elle avait vu, des créatures, comme dans les fillms. Placées en foyer, Ranya a commencer à perdre pied, et a faire de plus en plus de connerie, allant jusqu’à mettre le feu au foyer pour faire une diversion afin qu’elle et sa sœur puissent en partir. Trois jours de cavale à crever de faim, et la police les a retrouvé. Elle avait seize ans, seize ans. Puis, des gens ont débarqué, leur disant qu’il la croyait quand elle disait que ses parents avaient été tués par des créatures, et qu’il s’agissait de vampire. Ceux là lui offrait une chance de se venger, pensant à la sécurité de sa sœur, ranya accepta ce marcher : chasser pour eux, et vous serez tranquille, en gros, c’était le deal. C’était le luminatio, cette organisation a changé sa vie, à jamais.

Elle a fait du chemin depuis la gamine délinquante. Diplômé d’art de l’université de Richmond, elle a su se faire une place dans se milieu, faisant elle-même des peintures à ses heures perdues. Elle a toujours été douée pour l’artistique, elle qui n’était pas douée pour être sage, et qui était plutôt dyslexique. Œuvrant pour le Luminatio, elle a finit par retrouver les assassins de ses parents et avec l’aide d’autre chasseur à pu mettre un terme à leur vie, immonde. Ne quittant pas souvent sa sœur, même aujourd’hui, elles ont su resté liée dans l’adversité. Devenue chasseuse de vampire, elle se méfie tout de même des sorciers, et ne leur accorde qu’une confiance apparente, car certains d’entre eux pactisent avec les suceurs de sang, et cela ne lui plait pas du tout. Après avoir emménagé il y a deux ans à Fell Church, elle y a installé une galerie d’art assez réputée – elle en est fière comme pas possible. La jeune femme fougueuse et intrépide à finit par se poser. Mais, cette ville a quelques choses de bizarre, tant de vampire, et tant de sorcier entre ces murs, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Ranya s’y sent bien, mais est toujours sur le qui vive, et chez elle, on n’y entre pas facilement, derrière la porte se trouve toujours un revolver chargé, juste au cas ou.

humain, si vous avez connaissance sur surnaturel : souhaitez vous faire partie du Luminatio ? Si oui, merci de nous indiquez depuis quand en faites vous partie, pour quelles raisons vous avez été contacté (ou alors vous pouvez être né d’un membre du Luminatio) ? Ranya fait partie du Luminatio, pour une raison : ses parents ont été tué par des vampires. Ranya n’a jamais compris pourquoi ces créatures avaient tué ses parents, plus tard elle appris que c’était par plaisir de blesser, et sa colère n’en a été que plus grande. Alors âgé de seize ans, elle s’est retrouvé seule avec Lenka, sa sœur de quatorze ans, totalement seule. C’est là qu’est apparu le Luminatio, telle une lumière, une porte de sortie, une échappatoire. Il porte bien son nom, du latin « illumination », ce groupe a donné un sens a sa vie, et en lui offrant de venger ses parents elle s’est découvert un but : chasser. Elle apprécie ce groupe, celui-ci lui a offert une raison de vivre, une raison d’être, il lui a appris à se défendre, et à défendre sa sœur contre ses créatures qu’elle méprise.

‹ pseudo : à compléter
‹ le mot de fin : à compléter
‹ présence : à compléter